茶花女法语
❶ 请问哪位知道小仲马写《茶花女》时是用法语写的还是用英语写的
亚历山大·小仲马用法语写的
❷ 茶花女在原著中的名字
(茶花女)书中,女主角的名字叫玛格丽特。
❸ 请问茶花女中人名的标准发音~谢谢
亲,Marguerite Gautier法语音标来是【margerit gotje】自,中文谐音【马赫盖黑特 高替哀】;
Armand Duval法语音标是【armã dyval】,中文谐音【阿和芒 度语瓦勒】
❹ 茶花女、基督山伯爵这类法语书,有必要看英文原版的吗
可以看看英语版的,因为根据我的阅读经验看,一般19世纪的法、俄作品,你说的那内几本还有俄容罗斯托尔斯泰、PUSKINS等人的作品,我们翻译的质量还真的不如英国的好。如果有可能,你读读我们的《战争与和平》和蓝登书屋《WAR AND PEACE》,我们的叫人读不下去,翻译的支离破碎,看着看着就想扔掉书;但蓝登出的这个1927版翻译本忠实于冗长的原文还能叫你读着不觉得厌倦。
而且很具讽刺意味的是,我们很著名的蒋学模1947年翻译的《基督山伯爵》(这是国内最好的两个版本之一),正是从LONGMAN英译本转翻来的——因为蒋压根不懂法语
虽然这些19世纪法语作品往往都是20世纪初翻译成英语的,或许你会想当然地以为有很多单词会看不懂,其实完全不是这样,这些本子的单词大部分以我们今天CET-4级别的为主,句法结构上有CET-6难度的句子也不多见,一般人阅读起来没什么问题,读多了对应试做阅读理解和作文都很有帮助。
❺ 6.玛格丽特是法国名作《茶花女》中的主人公,她之所以被称为“茶花女”是因为她:
C 经常佩戴茶花
原文摘抄如下:
每逢首场演出,玛格丽特必定光临。每天晚上,她版都在剧场里或舞权会上度过。只要有新剧本上演,准可以在剧场里看到她。她随身总带着三件东西:一副望远镜、一袋蜜饯和一束茶花,而且总是放在底层包厢的前栏上。
一个月里有二十五天玛格丽特带的茶花是白的,而另外五天她带的茶花却是红的,谁也摸不透茶花颜色变化的原因是什么,而我也无法解释其中的道理。在她常去的那几个剧院里,那些老观众和她的朋友们都像我一样注意到了这一现象。
除了茶花以外,从来没有人看见过她还带过别的花。因此,在她常去买花的巴尔戎夫人的花店里,有人替她取了一个外号,称她为茶花女,这个外号后来就这样给叫开了。
❻ 小仲马的茶花女法语介绍
La Dame aux camélias est un roman d’Alexandre Dumas fils publié en 1848, inspiré par son amour pour la courtisane Marie Duplessis.
La Dame aux camélias a inspiré l'opéra de Verdi, La Traviata. De nombreuses actrices ont incarné Marguerite Gautier, de Sarah Bernhardt à Isabelle Huppert, en passant par Lillian Gish et Greta Garbo.
La Dame aux camélias a pour thème une histoire d’amour entre une courtisane atteinte de phtisie, Marguerite Gautier, et un jeune bourgeois, Armand Duval. La narration de cette histoire d’amour constitue un récit dans le récit, puisqu’Armand Duval raconte son aventure au narrateur initial roman.
Amoureux de Marguerite, Armand devient son amant et obtient que Marguerite renonce à sa vie de courtisane pour habiter avec lui à la campagne. L’idylle est rompue par le père d’Armand, qui obtient que Marguerite renonce à Armand, lequel va croire jusqu’à la mort de Marguerite que celle-ci l’avait trompé. La mort de Marguerite, victime de la « phtisie », est décrite comme une agonie sans fin, où Marguerite, abandonnée par tous, ne peut que regretter ce qui aurait pu être.
La passion outrepasse la raison, mais à la différence chevalier Des Grieux, autre amant livré aux affres d’un amour pour une « courtisane dans l’âme » dans Manon Lescaut, ouvrage auquel Dumas fait référence dans son propre roman, Armand aimera une femme toute prête à lui sacrifier sa richesse et son train de vie.
Dumas s’attache à rendre Marguerite sympathique et presque vertueuse malgré son passé. Alliance illégitime, cet amour touche le lecteur qui ne peut rester insensible à la souffrance réciproque des deux amants, contraints à se ranger côté de la norme.
Le roman est surtout marquant par le portrait saisissant qu’il fait de cette vie parisienne mondaine XIXe siècle, et caractère fragile et éphémère monde des courtisanes.
❼ 求解茶花女中一句法语句子的语法
c'est tout au plus (si les parents(qui payent pour être pleurés) le sont en raison prix )qu'(ils y mettent)
主句是 c'est tout (au plus个人抄感觉是连词) 然后有许多从句(la subordonné)
1) si les parent le sont en raison prix(这里的le是代词,我感觉代指上一句话,不过不确定哦)
3) qui (代指 les parents) payent pour être pleurés
4) qu'ils y mettent (que是连词 无实意 y是代词)
ps.把这个分类为英语翻译是哪个人干的好事啊Orz
❽ 法语原版的《茶花女》不用很多,300字就可以了
MON avis est qu'on ne peut créer des personnages que lorsque l'on a beaucoup étudié les hommes, comme on ne peut parler une langue qu'à la condition de l'avoir sérieusement apprise.
N'ayant pas encore l'âge où l'on invente, je me contente de raconter.
J'engage donc le lecteur à être convaincu de la réalité de cette histoire dont tous les personnages, à l'exception de l'héroïne, vivent encore.
D'ailleurs, il y a à Paris des témoins de la plupart des faits que je recueille ici, et qui pourraient les confirmer, si mon témoignage ne suffisait pas. Par une circonstance particulière, seul je pouvais les écrire, car seul j'ai été le confident des derniers détails sans lesquels il eût été impossible de faire un récit intéressant et complet. Or, voici comment ces détails sont parvenus à ma connaissance. - Le 12 mois de mars 1847, je lus, dans la rue Laffitte, une grande affiche jaune annonçant une vente de meubles et de riches objets de curiosité.
Cette vente avait lieu après décès. L'affiche ne nommait pas la personne morte, mais la vente devait se faire rue d'Antin, n° 9, le 16, de midi à cinq heures.
L'affiche portait en outre que l'on pourrait, le 13 et le 14, visiter l'appartement et les meubles.
J'ai toujours été amateur de curiosités. Je me promis de ne pas manquer cette occasion, sinon d'en acheter, moins d'en voir.
Le lendemain, je me rendis rue d'Antin, n° 9. Il était de bonne heure, et cependant il y avait déjà dans l'appartement des visiteurs et même des visiteuses ; qui, quoique vêtues de velours, couvertes de cachemires et attenes à la porte par leurs élégants coupés, regardaient avec étonnement, avec admiration même, le luxe qui s'étalait sous leurs yeux.
Plus tard je compris cette admiration et cet étonnement, car m'étant mis aussi à examiner, je reconnus aisément que j'étais dans l'appartement d'une femme entretenue.
Or, s'il y a une chose que les femmes monde désirent voir, et il y avait là des femmes monde, c'est l'intérieur de ces femmes, dont les équipages éclaboussent chaque jour le leur, qui ont, comme elles et à côté d'elles, leur loge à l'Opéra et aux Italiens , et qui étalent, à Paris, l'insolente opulence de leur beauté, de leurs bijoux et de leurs scandales.
Celle chez qui, je me trouvais était morte : les femmes les plus vertueuses pouvaient donc pénétrer jusque dans sa chambre. La mort avait purifié l'air de ce cloaque splendide, et d'ailleurs elles avaient pour excuse, s'il en était besoin, qu'elles venaient à une vente sans savoir chez qui elles venaient. Elles avaient lu des affiches, elles voulaient visiter ce que ces affiches promettaient et faire leur choix à l'avance ; rien de plus simple ; ce qui ne les empêchait pas de chercher, au milieu de toutes ces merveilles, les traces de cette vie de courtisane dont on, leur avait fait, sans doute, de si étranges récits.
Malheureusement les mystères étaient morts avec la déesse, et, malgré toute leur bonne volonté, ces dames ne surprirent que ce qui était à vendre depuis le décès, et rien de ce qui se vendait vivant de la locataire.
Du reste, il y avait de quoi faire des emplettes. Le mobilier était superbe. Meubles de bois de rose et de Boule, vases de Sèvres et de Chine, statuettes de Saxe, satin, velours et dentelle, rien n'y manquait.
Je me promenai dans l'appartement et je suivis les nobles curieuses qui m'y avaient précédé. Elles entrèrent dans une chambre tene d'étoffe perse, et j'allais y entrer aussi, quand elles en sortirent presque aussitôt en souriant et comme si elles eussent eu honte de cette nouvelle curiosité. Je n'en désirai que plus vivement pénétrer dans cette chambre. C'était le cabinet de toilette, revêtu de ses plus minutieux détails, dans lesquels paraissait s'être développée au plus haut point la prodigalité de la morte.
Sur une grande table, adossée au mur, table de trois pieds de large sur six de long, brillaient tous les trésors d'Aucoc et d'odiot. C'était là une magnifique collection, et pas un de ces mille objets, si nécessaires à la toilette d'une femme comme celle chez qui nous étions, n'était en autre métal qu'or ou argent. Cependant cette collection n'avait pu se faire que peu à peu, et ce n'était pas le même amour qui l'avait complétée.
Moi qui ne m'effarouchais pas à la vue cabinet de toilette d'une femme entretenue, je m'amusais à en examiner les détails, quels qu'ils fussent, et je m'aperçus que tous ces ustensiles magnifiquement ciselés portaient des initiales variées et des couronnes différentes.
Je regardais toutes ces choses dont chacune me représentait une prostitution de la pauvre fille, et je me disais que Dieu avait été clément pour elle, puisqu'il n'avait pas permis qu'elle en arrivât au châtiment ordinaire, et qu'il l'avait laissée mourir dans son luxe et sa beauté, avant la vieillesse, cette première mort des courtisanes.
En effet, quoi de plus triste à voir que la vieillesse vice, surtout chez la femme ? Elle ne renferme aucune dignité et n'inspire aucun intérêt. Ce repentir éternel, non pas de la mauvaise route suivie, mais des calculs mal faits et de l'argent mal employé, est une des plus attristantes choses que l'on puisse entendre. J'ai connu une ancienne femme galante à qui il ne restait plus de son passé qu'une fille presque aussi belle que, au dire de ses contemporains, avait été sa mère. Cette pauvre enfant à qui sa mère n'avait jamais dit : << Tu es ma fille ”, que pour lui ordonner de nourrir sa vieillesse comme elle-même avait nourri son enfance, cette pauvre créature se nommait Louise, et, obéissant à sa mère, elle se livrait sans volonté, sans passion, sans plaisir, comme elle eût fait un métier si l'on eût songé à lui en apprendre un.
La vue continuelle de la débauche, une débauche précoce, alimentée par l'état continuellement maladif de cette fille, avaient éteint en elle l'intelligence mal et bien que Dieu lui avait donnée peut-être, mais qu'il n'était venu à l'idée de personne de développer.
Je me rappellerai toujours cette jeune fille, qui passait sur les boulevards presque tous les jours à la même heure. Sa mère l'accompagnait sans cesse, aussi assidûment qu'une vraie mère eût accompagné sa vraie fille.
J'étais bien jeune alors, et prêt à accepter pour moi la facile morale de mon siècle. Je me souviens cependant que la vue de cette surveillance scandaleuse m'inspirait le mépris et le dégoût.
Joignez à cela que jamais visage de vierge n'eut en pareil sentiment d'innocence, une pareille expression de souffrance mélancolique.
On eût dit une figure de la Résignation.
Un jour, le visage de cette fille s'éclaira. Au milieu des débauches dont sa mère tenait le programme, il sembla à la pécheresse que Dieu lui permettait un bonheur. Et pourquoi, après tout, Dieu qui l'avait faite sans force, l'aurait-il laissée sans consolation, sous le poids douloureux de sa vie ? Un jour donc, elle s'aperçut qu'elle était enceinte, et ce qu'il y avait en elle de chaste encore tressaillit de joie. L'âme a d'étranges refuges.
Louise courut annoncer à sa mère cette nouvelle qui la rendait si joyeuse.
C'est honteux à dire, cependant nous ne faisons pas ici de l'immoralité à plaisir, nous racontons un fait vrai, que nous ferions peut-être mieux de taire, si nous ne croyions qu'il faut de temps en temps révéler les martyres de ces êtres, que l'on condamne sans les entendre, que l'on méprise sans les juger ; c'est honteux, disons-nous, mais la mère répondit à sa fille qu'elles n'avaient déjà pas trop pour deux et qu'elles n'auraient pas assez pour trois ; que de pareils enfants sont inutiles et qu'une grossesse est temps per.
Le lendemain, une sage-femme, que nous signalons seulement comme l'amie de la mère, vint voir Louise qui resta quelques jours au lit, et s'en releva plus pâle et plus faible qu'autrefois.
Trois mois après, un homme se prit de pitié pour elle et entreprit sa guérison morale et physique ; mais la dernière secousse avait été trop violente, et Louise mourut des suites de la fausse couche qu'elle avait faite.
La mère vit encore : comment ? Dieu le sait.
Cette histoire m'était revenue à l'esprit pendant que je contemplais les nécessaires d'argent, et un certain temps s'était écoulé, à ce qu'il paraît, dans ces réflexions, car il n'y avait plus dans l'appartement que moi et un gardien qui, de la porte, examinait avec attention si je me déros rien.
❾ 求发一段茶花女法语原文,最好多一点,急!
Armand, toujours triste, mais soulagé un peu par le récit de cette histoire,
se rétablit vite, et nous allâmes ensemble faire visite à Prudence et à Julie
Duprat.
Prudence venait de faire faillite. Elle nous dit que Marguerite en était la
cause ; que pendant sa maladie, elle lui avait prêté beaucoup d'argent pour
lequel elle avait fait des billets qu'elle n'avait pu payer, Marguerite étant
morte sans le lui rendre et ne lui ayant pas donné de reçus avec lesquels
elle pût se présenter comme créancière.
A l'aide de cette fable que Mme Duvernoy racontait partout pour excuser
ses mauvaises affaires, elle tira un billet de mille francs à Armand, qui n'y
croyait pas, mais qui voulut bien avoir l'air d'y croire, tant il avait de
respect pour tout ce qui avait approché sa maîtresse.
Puis nous arrivâmes chez Julie Duprat qui nous raconta les tristes
événements dont elle avait été témoin, versant des larmes sincères au
souvenir de son amie.
Enfin, nous allâmes à la tombe de Marguerite sur laquelle les premiers
rayons soleil d'avril faisaient éclore les premières feuilles.
Il restait à Armand un dernier devoir à remplir, c'était d'aller rejoindre son
père. Il voulut encore que je l'accompagnasse.
Nous arrivâmes à C.., où je vis M. Duval tel que je me l'étais figuré d'après
le portrait que m'en avait fait son fils : grand, digne, bienveillant.
❿ 《茶花女》中出现人物的法语名和有关《茶花女》的人名
玛格丽特 ( Marguerite Gautier) 阿尔芒 ( Armand Duval) 朱莉 (Julie) 玛丽·杜普莱西 (Marie Duplessis)